Les peintures de Bruno Gérard se reconnaissent aisément par le sujet et l'économie de moyens : le noir et le blanc, quelquefois de minuscules taches rouges.
On écrit mais on aurait aimé sculpter, jouer d'un instrument de musique, danser, peindre… Justement, peindre, ne serai-ce pas possible, indirectement, avec des mots qui épouseraient formes et couleurs ?
Françoise Lison-Leroy et Colette Nys-Mazure ont pris le train, la route et le large. Scènes et tableaux se relaient dans cet ensemble illustré avec grâce par Iris Van Dorpe.
Les images de Jacques De Backer racontent des histoires. Le temps semble suspendu ; les personnages sont transformés en acteurs et les objets en éléments de décor.
Un récit sur l’ambigüité de vie au pensionnat de jeunes filles, paradoxe entre rêves et religion, entre fantasmes et rigueurs, passage d’école à couvent. Un incroyable voyage à quatre mains, dans les méandres de la mémoire aux confins de l'imaginaire.