On le voit, rien n'est trop beau ni trop gris ni trop doux ; l'art du poème est de hausser la tension à l'aune des impatiences et des pulsions “de joie” ou dans l'ombre de “la légèreté de l'âme”. Du beau travail.
On écrit mais on aurait aimé sculpter, jouer d'un instrument de musique, danser, peindre… Justement, peindre, ne serai-ce pas possible, indirectement, avec des mots qui épouseraient formes et couleurs ?
L’écriture toujours en résonance au plus profond de soi, au plus près des émotions. Une sélection de textes invitant à approcher des paysages intérieurs.