Jacques Mercier décrit avec talent, et en connaissance de cause, une histoire qui pourrait être vraie. Dans les milieux de la chanson, (où se confondent célébrité, argent, intrigue et génie) Luc, un parolier à succès, tente de prouver que sa tendresse n'est pas inutile.
Philippe Delecluse pratique, selon sa propre expression, une "peinture narrative". Elle est fortement imprégnée de références littéraires et de mythes.
Je ne connais rien à la gent canine. A dire vrai, je ne l’aime guère. Mais ce chien-là me parut plutôt sympathique. Sa taille minuscule donnait à la queue, qu’il avait longue et perpétuellement érigée, une fonction ostentatoire du plus comique effet.
“[…] Ce souci du paraître accompagne cette dernière jusque dans la mort et, pour l’iconifier, les sculpteurs se font coiffeurs. […]” Photographie : André Chabot.
Dans ce beau livre pratique, l'auteur lève une partie du voile sur les mystères du diamant qui depuis les origines de son extraction dans le sous-sol de l'Inde jusqu'à l'explosion de son utilisation dans la haute société européenne du XIXe siècle, n'a cessé de frapper les imaginations.
Il a dû falloir au poète (il, elle) une énergie patiente, une sauvage révolte toujours à l'affût pour retourner à son "rectangle clair de papier qui la hèle, la hale (…) impérieux".
Dans les œuvres littéraires pour la jeunesse, la question du héros occupe une place importante, notamment parce qu'elle entre en relation avec des préoccupations éducatives auxquelles cette production est associée, sinon par tous ses auteurs, du moins par la majorité de ses prescripteurs.