Daniel Barbez, nous emmène à la rencontre de personnages que nous nous surprenons à reconnaître. Ce n’est pourtant pas notre siècle, mais avons-nous vraiment changé ? Avons-nous oublié ce quotidien goûteux : le travail ? la ferme ? la carrière ? l’usine ? le fleuve ? les gens d’à-terre, les gens d’à-bord ? Avons-nous oublié nos premiers émois et les questions qui se pressaient lorsque la vie criait ses vérités ?
Chaque silhouette véhicule des singularités, trahit l’évidence, nourrit l’imaginaire. Et le mystère persiste : quelles certitudes se glissent entre les lignes ?
Corinne Poncin propose son troisième recueil de “nouvelles” qui entraînent le lecteur dans des vagues mortelles, qu’elles soient issues de la mer ou des océans de l’intime. Illustrations de Chawa.
Si la ville est un opéra, la rue en est le décor. D’autant plus suggestif qu’il permet de croiser deux points de vue. Celui du passant. Il devine la vie derrière les façades, les porches et les fenêtres. Celui du résident. Il observe, à l’abri, les va-et-vient à l’extérieur.
Pour chacun de ces 59 haïkus, une sorte de prolongement, qui amplifient ce que condensent et suggèrent les 17 syllabes de ces haïkus. C’est ainsi que s’est écrit progressivement l’ensemble des textes ici rassemblés.
"La juste lumière" est une approche qui se veut sensible mais intranquille des paysages intérieurs qui hantent et tentent le poète depuis toujours ; paysages éclairés au mieux dans une possible recherche d’absolu et de vérité.