Pour chacun de ces 59 haïkus, une sorte de prolongement, qui amplifient ce que condensent et suggèrent les 17 syllabes de ces haïkus. C’est ainsi que s’est écrit progressivement l’ensemble des textes ici rassemblés. Illustrations de Christiane Deviaene.
“[…] Ce souci du paraître accompagne cette dernière jusque dans la mort et, pour l’iconifier, les sculpteurs se font coiffeurs. […]” Photographie : André Chabot.
Roman. Un jour de tempête, Marc Coppens attend sa maîtresse Estelle dans un hôtel sans style de la côte belge. Il est en proie au doute : doit-il la quitter ou lui demander de partir avec lui au Québec où il a décroché une bourse pour enseigner le français ? Estelle n’arrive pas. Reliure dos carré collé - 13,5 x 21 cm
Il n’y a pas d’autre propos au Poème quotidien : habiter mieux son corps, ses espaces intérieurs et extérieurs, ceux que l’on partage avec ses proches, avec des inconnus, mais aussi avec des œuvres d’art, au fil des rencontres et des événements.
Le printemps est tout nu au Paradis Perdu est un texte à la fois de théâtre, de conte et de poésie, écrit dans le contexte particulier de cette exposition consacré au Nu.