En sept chapitres, septante jours qui tentent de donner raison à Goethe lorsqu'il écrivait : "L'acte le plus difficile est celui que l'on croit le plus simple : percevoir, d'un regard en éveil, les choses qui se présentent à nos yeux." Expérimenter ; recueillir un jardin sous les paupières.
Inspiré par La Pourvoyeuse de légumes de Joachim Beuckelaer exposée au musée des beaux-arts de Valenciennes, Jean-Pierre Nicol nous emmène dans l'Anvers du XVIe siècle […]
Philippe Mathy a écrit ce poème lorsque sa fille Aline était petite, il y a quelques années… Pour enfants de 2 à 8 ans (et plus pour le plaisir de la lecture).
"La juste lumière" est une approche qui se veut sensible mais intranquille des paysages intérieurs qui hantent et tentent le poète depuis toujours ; paysages éclairés au mieux dans une possible recherche d’absolu et de vérité.
Il a dû falloir au poète (il, elle) une énergie patiente, une sauvage révolte toujours à l'affût pour retourner à son "rectangle clair de papier qui la hèle, la hale (…) impérieux".
Pays traversant ou traversé ? Ma première idée était de dire « traversé ». Mais je préfère aujourd’hui « traversant » car je parle de l’Escaut qui agit, descend et remue.
Il n’y a pas d’autre propos au Poème quotidien : habiter mieux son corps, ses espaces intérieurs et extérieurs, ceux que l’on partage avec ses proches, avec des inconnus, mais aussi avec des œuvres d’art, au fil des rencontres et des événements.
Le printemps est tout nu au Paradis Perdu est un texte à la fois de théâtre, de conte et de poésie, écrit dans le contexte particulier de cette exposition consacré au Nu.
Le temps peut nous battre, nous assommer de ses coups de boutoir. Il peut aussi battre comme un cœur, s'accrocher à la vie. De la grisaille des jours de pluie à ces journées, passantes effrontées, qui offrent des bouffées de soleil sous la jupe fendue de leurs nuages, l'auteur nous invite au cheminement.
Hugo Fontaine se dit poète attaquant de pointe… Également contributeur à différentes revues d'art et de poésie comme la "Tribune du Jelly Rodger," la revue "IntranQu’îllités" aux éditions Zulma, "Immersion", ou "Appelle moi poésie", il aime aussi collaborer avec des artistes plasticiens, peintres, danseurs afin d'intervenir à voix haute.
Avec ma femme, « Mymy », nous nous trouvons à la tête (et surtout au coeur) d'une bien belle tribu ! Ces grands et petits que j'aime me font un cadeau fabuleux et je suis heureux de le partager avec vous.
Ce premier numéro de Poeticon tient son origine dans le projet du Magasin de Maman de créer des œuvres d'art miniatures en s'inspirant de textes poétiques. Dans la continuité de cette (bonne) idée, nous avons décidé d'en faire une publication.