Le tarot de Nathalie Amand est un livre-objet composé de 78 cartes-images comprenant 22 arcanes majeurs et 56 arcanes mineurs. Il s’agit d’une revisite photographique en noir et blanc du tarot de Marseille dont elle s’inspire directement.
Roman. Mini-jupe et cuissardes noires à talons hauts, top décolleté avec la couleur assortie au rouge à lèvres. Sur les conseils de Johanna, sa grande copine, Virginie s’était habillée pour faire décoller la libido de Dieter. Cela devait être la surprise de la soirée pour célébrer les six mois de leur relation. Cela a été un fiasco, un camouflet. Pire, une humiliation.
Chacun de nous crée son destin, sa vie, ses interdits, ses douleurs, c’est pour cela que personne n’est banal. Les « anges » de mon livre reflètent tout cela.
“Les contes du Grand Chronophage” est un recueil de 7 histoires savoureuses, jetant un regard enjoué, voire espiègle, sur certains tableaux des deux musées !
Corinne Poncin connaît bien les milieux judiciaires et leurs incontournables acteurs, et nous en fait une peinture pas du tout politiquement correcte. L’intrigue met en scène des personnages croustillants et infects à souhait, caricaturaux et pourtant si réels.
Roman. Au départ d’une société alors charpentée par la morale et la religion, nous entrons au cœur même de la famille, lieu d’indivision originelle, celle des Didereau.
Hugo Fontaine se dit poète attaquant de pointe… Également contributeur à différentes revues d'art et de poésie comme la "Tribune du Jelly Rodger," la revue "IntranQu’îllités" aux éditions Zulma, "Immersion", ou "Appelle moi poésie", il aime aussi collaborer avec des artistes plasticiens, peintres, danseurs afin d'intervenir à voix haute.
Avec ma femme, « Mymy », nous nous trouvons à la tête (et surtout au coeur) d'une bien belle tribu ! Ces grands et petits que j'aime me font un cadeau fabuleux et je suis heureux de le partager avec vous.
Ce premier numéro de Poeticon tient son origine dans le projet du Magasin de Maman de créer des œuvres d'art miniatures en s'inspirant de textes poétiques. Dans la continuité de cette (bonne) idée, nous avons décidé d'en faire une publication.
La vie n’est pas un long fleuve tranquille. Nous y naviguons pourtant. L’eau emmène notre embarcation vers la mer, vers l’océan. De temps à autre, une rive nous attire et nous nous y amarrons.
Un récit sur l’ambigüité de vie au pensionnat de jeunes filles, paradoxe entre rêves et religion, entre fantasmes et rigueurs, passage d’école à couvent. Un incroyable voyage à quatre mains, dans les méandres de la mémoire aux confins de l'imaginaire.
La langue d’Hugo Fontaine est un parterre sauvage, dont il arrache soigneusement les fleufleurs à fleuristes. Y poussent des herbes rouges, des lichens tordus, des chardons magnifiques, et puis des carnivores, bien sûr des carnivores, parce qu’avant tout, il est question de dévorer les heures.
On se prend à espérer le printemps. Tiendras-tu jusque-là ? Partiras-tu avec l’hiver qui s’éloigne ? Verras-tu encore apparaître l’été, les fleurs, les fruits ?