L’écriture toujours en résonance au plus profond de soi, au plus près des émotions. Une sélection de textes invitant à approcher des paysages intérieurs.
C'est dans un amusant désordre chronologiques que l'auteur nous livre ici les anecdotes, les petits secrets, l'histoire dans l'histoire, des vedettes qu'il a côtoyées.
Il n'est pas innocent de faire revivre par les mots une personne chère qui est devenue sourde à l'âge de deux ans. Ne va-t-on pas la trahir, la modeler selon ses propres désirs, elle qui avait une parole limitée ?…
Un livre-CD qui se veut un moyen de mêler les tons et les âges : il fait répondre, aux textes de Guillaume Ledent, des illustrations en demi- teintes (Mathieu Vandermolen, qui amène ici son imagerie doucement onirique et ironique) et le miroir de la poésie (Jacques Mercier, qui égrène les mots musicaux, avec le regard d'un grand-père)
Deuxième Triennale internationale de Tournai. Tapisserie et arts du tissu de la Francophonie Exposition : Tournai, 13 lieux différents, du 20 juin au 30 septembre 1993
La plupart des tirages de cette édition ont été pris en 2008 et 2009. Ces photos sont nées du projet d'exposer avec son ancien élève, Jean-François Spricigo.
Des artistes naissent à l'atelier sans que le temps ait une prise sur eux. Jean-Pascal mettra plusieurs années avant de trouver le sens artistique à donner à son travail quotidien. Louis Poulain aussi, […]
Françoise Lison-Leroy et Colette Nys-Mazure ont pris le train, la route et le large. Scènes et tableaux se relaient dans cet ensemble illustré avec grâce par Iris Van Dorpe.
L'enfance croquée par deux observatrice attentives et aimantes. Elles vont au vif du sujet. Colette Nys-Mazure d'une voix qui dit l'essentiel de la vie : l'amour fou, la berceuse, l'amitié, la sauvage chevauchée, le printemps remuant.
Le texte ne se "lit" pas, il se ressent. Les mots se juxtaposent à la manière de touches impressionnistes sur la toile du peintre. Quelque chose se vit entre les lignes.
Jean-Louis Keranguéven, d'origine bretonne, a coutume de dire qu'il s'est trouvé déposé en terre montpelliéraine par une marée d'équinoxe au coefficient imprévu. Une façon pudique mais incomplète d'exprimer sa nostalgie d'ouest.
Daniel Barbez, nous emmène à la rencontre de personnages que nous nous surprenons à reconnaître. Ce n’est pourtant pas notre siècle, mais avons-nous vraiment changé ? Avons-nous oublié ce quotidien goûteux : le travail ? la ferme ? la carrière ? l’usine ? le fleuve ? les gens d’à-terre, les gens d’à-bord ? Avons-nous oublié nos premiers émois et les questions qui se pressaient lorsque la vie criait ses vérités ?
Chaque silhouette véhicule des singularités, trahit l’évidence, nourrit l’imaginaire. Et le mystère persiste : quelles certitudes se glissent entre les lignes ?