On le voit, rien n'est trop beau ni trop gris ni trop doux ; l'art du poème est de hausser la tension à l'aune des impatiences et des pulsions “de joie” ou dans l'ombre de “la légèreté de l'âme”. Du beau travail.
On écrit mais on aurait aimé sculpter, jouer d'un instrument de musique, danser, peindre… Justement, peindre, ne serai-ce pas possible, indirectement, avec des mots qui épouseraient formes et couleurs ?
Exposition de Pascale Loiseau et Virginie Stricanne - Photographies de Sandra Liénart Textes de Delphine Gérard, Isabelle Gillet, Marianne Kirsch, Jacky Legge, Françoise Lison-Leroy, Colette Nys-Masure, Marie-Clotilde Roose, Michel Voiturier Avec la collaboration du MuFIm (Musée de Folklore et des Imaginaires) de Tournai et d'Unimuse (Association d'écrivains Tournai)