Si la ville est un opéra, la rue en est le décor. D’autant plus suggestif qu’il permet de croiser deux points de vue. Celui du passant. Il devine la vie derrière les façades, les porches et les fenêtres. Celui du résident. Il observe, à l’abri, les va-et-vient à l’extérieur.
Pour chacun de ces 59 haïkus, une sorte de prolongement, qui amplifient ce que condensent et suggèrent les 17 syllabes de ces haïkus. C’est ainsi que s’est écrit progressivement l’ensemble des textes ici rassemblés. Illustrations de Christiane Deviaene.
"La juste lumière" est une approche qui se veut sensible mais intranquille des paysages intérieurs qui hantent et tentent le poète depuis toujours ; paysages éclairés au mieux dans une possible recherche d’absolu et de vérité.
Pays traversant ou traversé ? Ma première idée était de dire « traversé ». Mais je préfère aujourd’hui « traversant » car je parle de l’Escaut qui agit, descend et remue.
Il n’y a pas d’autre propos au Poème quotidien : habiter mieux son corps, ses espaces intérieurs et extérieurs, ceux que l’on partage avec ses proches, avec des inconnus, mais aussi avec des œuvres d’art, au fil des rencontres et des événements.
Le printemps est tout nu au Paradis Perdu est un texte à la fois de théâtre, de conte et de poésie, écrit dans le contexte particulier de cette exposition consacré au Nu.
Hugo Fontaine se dit poète attaquant de pointe… Également contributeur à différentes revues d'art et de poésie comme la "Tribune du Jelly Rodger," la revue "IntranQu’îllités" aux éditions Zulma, "Immersion", ou "Appelle moi poésie", il aime aussi collaborer avec des artistes plasticiens, peintres, danseurs afin d'intervenir à voix haute.