Daniel Barbez, nous emmène à la rencontre de personnages que nous nous surprenons à reconnaître. Ce n’est pourtant pas notre siècle, mais avons-nous vraiment changé ? Avons-nous oublié ce quotidien goûteux : le travail ? la ferme ? la carrière ? l’usine ? le fleuve ? les gens d’à-terre, les gens d’à-bord ? Avons-nous oublié nos premiers émois et les questions qui se pressaient lorsque la vie criait ses vérités ?
Chaque silhouette véhicule des singularités, trahit l’évidence, nourrit l’imaginaire. Et le mystère persiste : quelles certitudes se glissent entre les lignes ?
Corinne Poncin propose son troisième recueil de “nouvelles” qui entraînent le lecteur dans des vagues mortelles, qu’elles soient issues de la mer ou des océans de l’intime. Illustrations de Chawa.
Si la ville est un opéra, la rue en est le décor. D’autant plus suggestif qu’il permet de croiser deux points de vue. Celui du passant. Il devine la vie derrière les façades, les porches et les fenêtres. Celui du résident. Il observe, à l’abri, les va-et-vient à l’extérieur.
Pour chacun de ces 59 haïkus, une sorte de prolongement, qui amplifient ce que condensent et suggèrent les 17 syllabes de ces haïkus. C’est ainsi que s’est écrit progressivement l’ensemble des textes ici rassemblés. Illustrations de Christiane Deviaene.
"La juste lumière" est une approche qui se veut sensible mais intranquille des paysages intérieurs qui hantent et tentent le poète depuis toujours ; paysages éclairés au mieux dans une possible recherche d’absolu et de vérité.
Roman. Un jour de tempête, Marc Coppens attend sa maîtresse Estelle dans un hôtel sans style de la côte belge. Il est en proie au doute : doit-il la quitter ou lui demander de partir avec lui au Québec où il a décroché une bourse pour enseigner le français ? Estelle n’arrive pas. Reliure dos carré collé - 13,5 x 21 cm
Pays traversant ou traversé ? Ma première idée était de dire « traversé ». Mais je préfère aujourd’hui « traversant » car je parle de l’Escaut qui agit, descend et remue.
Il n’y a pas d’autre propos au Poème quotidien : habiter mieux son corps, ses espaces intérieurs et extérieurs, ceux que l’on partage avec ses proches, avec des inconnus, mais aussi avec des œuvres d’art, au fil des rencontres et des événements.
Le printemps est tout nu au Paradis Perdu est un texte à la fois de théâtre, de conte et de poésie, écrit dans le contexte particulier de cette exposition consacré au Nu.
Le tarot de Nathalie Amand est un livre-objet composé de 78 cartes-images comprenant 22 arcanes majeurs et 56 arcanes mineurs. Il s’agit d’une revisite photographique en noir et blanc du tarot de Marseille dont elle s’inspire directement.
Roman. Mini-jupe et cuissardes noires à talons hauts, top décolleté avec la couleur assortie au rouge à lèvres. Sur les conseils de Johanna, sa grande copine, Virginie s’était habillée pour faire décoller la libido de Dieter. Cela devait être la surprise de la soirée pour célébrer les six mois de leur relation. Cela a été un fiasco, un camouflet. Pire, une humiliation.
Chacun de nous crée son destin, sa vie, ses interdits, ses douleurs, c’est pour cela que personne n’est banal. Les « anges » de mon livre reflètent tout cela.
“Les contes du Grand Chronophage” est un recueil de 7 histoires savoureuses, jetant un regard enjoué, voire espiègle, sur certains tableaux des deux musées !
Corinne Poncin connaît bien les milieux judiciaires et leurs incontournables acteurs, et nous en fait une peinture pas du tout politiquement correcte. L’intrigue met en scène des personnages croustillants et infects à souhait, caricaturaux et pourtant si réels.