Roman de Corinne Poncin. “Madame Nico Roc travaille, avec passion, dans un centre de planning familial. Elle y reçoit des êtres qui rêvent d’une autre vie…”
Introspection, récits déjantés, peintures sociales ou portraits individuels, tous les personnages se donnent le mot pour se créer un passage dans l’entonnoir du temps.
Dans ce récit autour de quatre-vingt pages d’une vie, l’auteure nous révèle à la fois l’histoire singulière d’une femme en l’inscrivant dans plusieurs temps de vie […]
"Une ruade dans une fin de siècle vouée aux dépendances comme aux prétendues libertés : en page amères et griffues, Jacky Legge balaie l’adolescence aux abois."
On le voit, rien n'est trop beau ni trop gris ni trop doux ; l'art du poème est de hausser la tension à l'aune des impatiences et des pulsions “de joie” ou dans l'ombre de “la légèreté de l'âme”. Du beau travail.
BD - Vincent mène sa vie hors du monde, au coeur de la montagne. Une vie entièrement comblée par son jardin et sa bibliothèque. Un jour, un accident de parapente dépose le corps meurtri de Mélanie au milieu de son domaine.
Louise a 17 ans : c'est l'âge de tous les possibles. Ce printemps-là, elle rencontre son destin auprès d'un bel américain. 23 ans plus tard, Florence, infirmière à domicile, est appelée au chevet de Louise.
ESSAI. Le christianisme est-il l’expression d’un bouddhisme transplanté en Occident? Plusieurs écoles philosophiques de la Grèce antique trouvent-elles leur origine en Inde et notamment dans le message bouddhiste ?
En 2021, chez elle à Kain, Michèle a écrit ces Cantilènes dont elle nous a parlé quelques semaines avant son hospitalisation en décembre, à Tournai. « Je vais les envoyer aux éditions Les Déjeuners sur l’herbe », nous confie-t-elle.
Précommande : remplissez le formulaire de commande normalement, nous vous enverrons le livre dès sa réimpression le 22 décembre "Voici donc le récit de ce bien étrange voyage que mon père et moi avons effectué, tel que je l’ai ressenti au moment où chaque épisode s’est présenté."(M. Losfeld)
"[…] Vous allez donc, amis lecteurs, être confrontés à des diables cornus empestant le soufre, des sorcières hideuses, des loups-garous inquiétants, des verts boucs malveillants…" Ancrés dans le Pays des Collines (Ellezelles et environs), ce recueil de vingt contes fantastiques anciens constitue la réédition augmentée de "Collines Mystérieuses", de Jacques Vandewattyne. Illustrations de Jacques Vandewattyne et photos de Jacques Desablens.
Exposition de Pascale Loiseau et Virginie Stricanne - Photographies de Sandra Liénart Textes de Delphine Gérard, Isabelle Gillet, Marianne Kirsch, Jacky Legge, Françoise Lison-Leroy, Colette Nys-Masure, Marie-Clotilde Roose, Michel Voiturier Avec la collaboration du MuFIm (Musée de Folklore et des Imaginaires) de Tournai et d'Unimuse (Association d'écrivains Tournai)
L’écriture toujours en résonance au plus profond de soi, au plus près des émotions. Une sélection de textes invitant à approcher des paysages intérieurs.
Françoise Lison-Leroy et Colette Nys-Mazure ont pris le train, la route et le large. Scènes et tableaux se relaient dans cet ensemble illustré avec grâce par Iris Van Dorpe.
Le texte ne se "lit" pas, il se ressent. Les mots se juxtaposent à la manière de touches impressionnistes sur la toile du peintre. Quelque chose se vit entre les lignes.
Jean-Louis Keranguéven, d'origine bretonne, a coutume de dire qu'il s'est trouvé déposé en terre montpelliéraine par une marée d'équinoxe au coefficient imprévu. Une façon pudique mais incomplète d'exprimer sa nostalgie d'ouest.
Daniel Barbez, nous emmène à la rencontre de personnages que nous nous surprenons à reconnaître. Ce n’est pourtant pas notre siècle, mais avons-nous vraiment changé ? Avons-nous oublié ce quotidien goûteux : le travail ? la ferme ? la carrière ? l’usine ? le fleuve ? les gens d’à-terre, les gens d’à-bord ? Avons-nous oublié nos premiers émois et les questions qui se pressaient lorsque la vie criait ses vérités ?
Chaque silhouette véhicule des singularités, trahit l’évidence, nourrit l’imaginaire. Et le mystère persiste : quelles certitudes se glissent entre les lignes ?
Corinne Poncin propose son troisième recueil de “nouvelles” qui entraînent le lecteur dans des vagues mortelles, qu’elles soient issues de la mer ou des océans de l’intime. Illustrations de Chawa.
Si la ville est un opéra, la rue en est le décor. D’autant plus suggestif qu’il permet de croiser deux points de vue. Celui du passant. Il devine la vie derrière les façades, les porches et les fenêtres. Celui du résident. Il observe, à l’abri, les va-et-vient à l’extérieur.
Pour chacun de ces 59 haïkus, une sorte de prolongement, qui amplifient ce que condensent et suggèrent les 17 syllabes de ces haïkus. C’est ainsi que s’est écrit progressivement l’ensemble des textes ici rassemblés. Illustrations de Christiane Deviaene.
"La juste lumière" est une approche qui se veut sensible mais intranquille des paysages intérieurs qui hantent et tentent le poète depuis toujours ; paysages éclairés au mieux dans une possible recherche d’absolu et de vérité.
“[…] Ce souci du paraître accompagne cette dernière jusque dans la mort et, pour l’iconifier, les sculpteurs se font coiffeurs. […]” Photographie : André Chabot.
Roman. Un jour de tempête, Marc Coppens attend sa maîtresse Estelle dans un hôtel sans style de la côte belge. Il est en proie au doute : doit-il la quitter ou lui demander de partir avec lui au Québec où il a décroché une bourse pour enseigner le français ? Estelle n’arrive pas. Reliure dos carré collé - 13,5 x 21 cm
Pays traversant ou traversé ? Ma première idée était de dire « traversé ». Mais je préfère aujourd’hui « traversant » car je parle de l’Escaut qui agit, descend et remue.
Il n’y a pas d’autre propos au Poème quotidien : habiter mieux son corps, ses espaces intérieurs et extérieurs, ceux que l’on partage avec ses proches, avec des inconnus, mais aussi avec des œuvres d’art, au fil des rencontres et des événements.
Le printemps est tout nu au Paradis Perdu est un texte à la fois de théâtre, de conte et de poésie, écrit dans le contexte particulier de cette exposition consacré au Nu.
Le tarot de Nathalie Amand est un livre-objet composé de 78 cartes-images comprenant 22 arcanes majeurs et 56 arcanes mineurs. Il s’agit d’une revisite photographique en noir et blanc du tarot de Marseille dont elle s’inspire directement.
Roman. Mini-jupe et cuissardes noires à talons hauts, top décolleté avec la couleur assortie au rouge à lèvres. Sur les conseils de Johanna, sa grande copine, Virginie s’était habillée pour faire décoller la libido de Dieter. Cela devait être la surprise de la soirée pour célébrer les six mois de leur relation. Cela a été un fiasco, un camouflet. Pire, une humiliation.
Chacun de nous crée son destin, sa vie, ses interdits, ses douleurs, c’est pour cela que personne n’est banal. Les « anges » de mon livre reflètent tout cela.
“Les contes du Grand Chronophage” est un recueil de 7 histoires savoureuses, jetant un regard enjoué, voire espiègle, sur certains tableaux des deux musées !
Corinne Poncin connaît bien les milieux judiciaires et leurs incontournables acteurs, et nous en fait une peinture pas du tout politiquement correcte. L’intrigue met en scène des personnages croustillants et infects à souhait, caricaturaux et pourtant si réels.
Roman. Au départ d’une société alors charpentée par la morale et la religion, nous entrons au cœur même de la famille, lieu d’indivision originelle, celle des Didereau.
Hugo Fontaine se dit poète attaquant de pointe… Également contributeur à différentes revues d'art et de poésie comme la "Tribune du Jelly Rodger," la revue "IntranQu’îllités" aux éditions Zulma, "Immersion", ou "Appelle moi poésie", il aime aussi collaborer avec des artistes plasticiens, peintres, danseurs afin d'intervenir à voix haute.
Avec ma femme, « Mymy », nous nous trouvons à la tête (et surtout au coeur) d'une bien belle tribu ! Ces grands et petits que j'aime me font un cadeau fabuleux et je suis heureux de le partager avec vous.
Ce premier numéro de Poeticon tient son origine dans le projet du Magasin de Maman de créer des œuvres d'art miniatures en s'inspirant de textes poétiques. Dans la continuité de cette (bonne) idée, nous avons décidé d'en faire une publication.
La vie n’est pas un long fleuve tranquille. Nous y naviguons pourtant. L’eau emmène notre embarcation vers la mer, vers l’océan. De temps à autre, une rive nous attire et nous nous y amarrons.
Un récit sur l’ambigüité de vie au pensionnat de jeunes filles, paradoxe entre rêves et religion, entre fantasmes et rigueurs, passage d’école à couvent. Un incroyable voyage à quatre mains, dans les méandres de la mémoire aux confins de l'imaginaire.
La langue d’Hugo Fontaine est un parterre sauvage, dont il arrache soigneusement les fleufleurs à fleuristes. Y poussent des herbes rouges, des lichens tordus, des chardons magnifiques, et puis des carnivores, bien sûr des carnivores, parce qu’avant tout, il est question de dévorer les heures.
On se prend à espérer le printemps. Tiendras-tu jusque-là ? Partiras-tu avec l’hiver qui s’éloigne ? Verras-tu encore apparaître l’été, les fleurs, les fruits ?